Emel Mathlouthi
Emel Mathlouthi est née le 11 janvier 1982 à Tunis. L’apprentie artiste commence par se passionner pour le folk protestataire de Joan Baez, tout autant que pour les nappes electro de Portishead. A dix-neuf ans elle crée un groupe de rock, puis elle s’investit dans le graphisme où elle s’intéresse en particulier à l’affiche militante. Éprise de liberté, Emel Mathlouthi commence à se faire connaître par ses propres moyens. Elle arrive à rencontrer son public sans avoir accès aux grands médias tunisiens qui ne goûtent guère les thèmes de ses chansons.
C’est en étant finaliste en 2006 du premier prix RMC Moyen-Orient en Jordanie, que Emel Mathlouthi fait son apparition sur la scène internationales. Cette exposition lui donne l’occasion de rencontrer des artistes comme Charlélie Couture, Tricky ou Meï Teï Shô. Emel Mathlouthi bénéficie du dispositif de la SACEM Visa pour la Création qui lui permet de financer ses premiers enregistrements. L’arrivée de la révolution tunisienne entre 2010 et 2011, fait d’elle l’une des voix artistiques de la contestation. Emel Mathlouthi donne plusieurs concerts en soutien aux manifestants durant la période qui précède la chute du régime Ben Ali.
Son premier album Kelmti Horra sort en janvier 2012, et devient immédiatement un succès dans les circuits world music. Kelmti Horra livre en dix titres un répertoire de musique arabe mixée aux ambiances electro, avec des textes engagés qui sont traduits dans le livret du CD. Voix de la Révolution de Jasmin, Emel Mathlouthi est un symbole de la nouvelle Tunisie et de l’évolution des sociétés arabo-musulmanes.
C’est en étant finaliste en 2006 du premier prix RMC Moyen-Orient en Jordanie, que Emel Mathlouthi fait son apparition sur la scène internationales. Cette exposition lui donne l’occasion de rencontrer des artistes comme Charlélie Couture, Tricky ou Meï Teï Shô. Emel Mathlouthi bénéficie du dispositif de la SACEM Visa pour la Création qui lui permet de financer ses premiers enregistrements. L’arrivée de la révolution tunisienne entre 2010 et 2011, fait d’elle l’une des voix artistiques de la contestation. Emel Mathlouthi donne plusieurs concerts en soutien aux manifestants durant la période qui précède la chute du régime Ben Ali.
Son premier album Kelmti Horra sort en janvier 2012, et devient immédiatement un succès dans les circuits world music. Kelmti Horra livre en dix titres un répertoire de musique arabe mixée aux ambiances electro, avec des textes engagés qui sont traduits dans le livret du CD. Voix de la Révolution de Jasmin, Emel Mathlouthi est un symbole de la nouvelle Tunisie et de l’évolution des sociétés arabo-musulmanes.