Le Fair est le 1^er dispositif de soutien au démarrage de carrières et de professionnalisation en Musiques Actuelles.

Le fair est une chance. Il nous a permis d’avoir une grande aide financière pour nous développer dans nos projets, et c’est aussi un accompagnement idéal pour cette nouvelle génération d’artiste multi casquette qui voit le jour.

Le fair nous a aidé à parfaire nos connaissances sur le terrain, à apprendre les rouages du business de la musique, à avoir des bases juridiques, à améliorer nos compétences. Le fair, c’est aussi une oreille neutre.

Le fair est un appui, une oreille, un tuteur, une serre, un bateau, un initiateur, un architecte. Il aide à faire pousser les artistes, à se développer, s’entourer, il construit des ponts entre les uns les autres, crée des liens
avec les professionnels de la musique, permet des traversées de l’océan.

Je tentais le coup en 2013, toute petite, en pensant que mon manque d’expérience et d’entourage, ne me laisseraient aucune chance. Je l’ai eu, contre toute attente, grâce à un système de sélection vraiment basé sur la découverte et le coup de cœur.

Ça a été un réel point de départ pour moi, et depuis, il ne se passe jamais une année sans que le fair ne me sollicite pour des superbes projets ou ne m’aide à naviguer en eaux parfois troublées. Je me sens vraiment chanceuse de faire partie de cette famille.

C’est simple, au FAIR c’est papa et maman qui te prennent par la main, qui te donnent tout l’amour, la considération, l’écoute, la confiance, le temps dont tu as besoin quand tu es « petit »

C’est utile, que dis-je, indispensable pour bien grandir. C’est doux c’est chaud, ça te sourit. Dans ce monde de brutes, un miracle.

Faire les bons choix de partenaires, aider les artistes-producteurs à se structurer, rencontrer d’autres artistes au même niveau d’avancement.

Avec bienveillance et sans aucun interêt financier, ce qui est rarissime et précieux quand on est artiste au début de son chemin.
Au final, le Fair c’est le marche pied pour la professionnalisation de son projet artistique.

Pour enfin, pouvoir signer un contrat avec label, un éditeur ou un tourneur, être en situation de vendre des disques, de générer des streams, de faire des dates de concerts, de passer à la radio…

D’être à la barre d’un projet qui crée de la richesse culturelle et  économique.

Longue vie au Fair.