Nosfell
Nosfell a élaboré un langage, le Klokobetz et un univers, le Klokochazia, dont il se fait le troubadour depuis l’adolescence. Qualifié d’Ovni musical du fait de ses prestations scéniques dans lesquelles il évolue, tapi dans l’ombre comme un Nosferatu, et de ses albums orchestrés avec Pierre Le Bourgeois, Nosfell pétrifie et ravive les oreilles à grands coups de musique expérimentale, oscillant entre rock et chanson.
Après avoir arpenté de nombreux pays et remporté deux prix lors du tremplin Starting Rock du festival Chorus des Hauts-de-Seine, en 2003, ainsi que le prix Attention Talent Scène du Printemps de Bourges 2004, Nosfell autoproduit son premier album, « Pomaïe Klokochazia Balek », réédité ensuite chez V2.
La critique est laudative et Nosfell enchaîne tous les festivals français de l’été 2005.
Le cocktail musical saugrenu de Nosfell revient en 2006 raconter l’histoire du chevalier Günel sur le disque « Kälin Bla Lemsnit Dünfel Labyanit » (« Le chien mord mais pas le renard »).
Ses fantaisies ont toute liberté d’extension ; les paysages mentaux et musicaux de Nosfell semblent infinis…