Las Aves
Las Aves est un gang du futur. Mystérieux, avant-gardiste. Leur premier album, « Die In Shanghai », en est le manifeste brûlant.
Pour cet album, la bande a recruté des partenaires de choix : Le visionnaire Dan Levy (moitié du duo The Do) pour la production, l’artiste indonésien Ferry Gouw (le cerveau graphique derrière Major Lazer) qui a dessiné leur emblème doré, le peintre hyperréaliste Jacques Parnel pour la réalisation de la pochette, ainsi que le réalisateur américain Focus Creeps (Arctic Monkeys, Trash Talk, King Krule) pour les clips.
Est ainsi né un album ambitieux, où l’intelligence musicale côtoie l’énergie brute d’une émotion incarnée. Art Pop, Future Rock, Heavy R’n’B, il faudrait inventer une dénomination pour qualifier cet opus novateur, dont chaque morceau semble mettre le doigt là où l’on ne l’attend pas, creusant des sillons encore inconnus dans une musique du futur.
Paradoxalement, lorsque le groupe monte sur scène, il joue alors comme si demain n’existait pas. Et si la fusée semble lancée, personne ne sait sur quelle planète habitent ces quatre-là.