Jaïa Rose
1/3 badass, 1/3 good girl, 1/3 diva. Un cocktail explosif qui infuse la personnalité de Jaïa Rose, 21 ans, jeune chanteuse de pop / r’n’b’ au charisme rayonnant. « Il y a en moi autant une fille « cute » qu’un mec de la street », dit-elle en riant. La preuve avec son premier EP, à la fois narquois et sensuel, frontal et introspectif, qui explore musicalement un r’n’b’ 2.0 nonchalant et rythmé, aux pulsations électro et aux gimmicks entêtants. Et qui brosse le portrait saisissant d’une jeune fille urbaine complètement dans son époque.
Jeune métisse franco-congolaise élevée à la campagne du côté de Bordeaux, la danse et la musique font partie de sa vie : dans sa chambre, elle s’essaie timidement à chanter sur les tubes des Destiny’s Child, d’Alicia Keys, de Beyoncé. Et se nourrit du jazz, du reggae, du hip hop, du r’n’b’, de la rumba congolaise, de la musique classique qu’écoutent ses parents mélomanes. C’est à ce moment-là que se noue la conviction qu’un jour, elle sera artiste. Autant pour être libre que pour être regardée autrement, avec le respect et l’admiration qu’on réserve au talent.
Car du talent, Jaïa Rose n’en manque pas. Elle l’exprime d’abord par la danse et la création de chorégraphies : elle intègre à 19 ans l’Académie Internationale de la Danse à Paris, et c’est en dansant dans un clip que la musique revient, comme une évidence, en première ligne de ses préoccupations.
Entre chant et rap, Jaïa Rose confie ses joies et ses doutes, révèle ses forces et ses failles, nous prend par la main pour nous emmener dans son univers.