Djazia Satour
Né en Algérie à la fin de l’année 1980, Djazia Satour passe son enfance à écouter différents styles de musique, du chââbi local à l’opéra en passant par la pop diffusée à la radio.
Quelques années plus tard, alors que sa famille s’est installée à Grenoble, Djazia Satour découvre d’autres musiques, notamment la soul et les musiques électroniques. En 1999, elle intègre Mig, une formation trip-hop dont elle est la voix chantant en arabe, anglais et français. Le trio qui publie deux albums respectivement intitulés Dhikrayat en 2004 et Yamatna en 2006, jouit d’une bonne réputation critique à défaut de conquérir un large public.
La séparation de Mig laisse place à la carrière solo de Djazia Satour qui sort un premier EP 6 titres autoproduit Klami avec l’aide de quatre musiciens et de l’ex-Sinsemilia Fafa Daïan à la réalisation. Lauréate du Prix FAIR 2011, Djazia Satour apporte sa richesse vocale et son éclectisme à un disque traversé par les chants arabes, la nu-soul et le blues roots.
Quelques années plus tard, alors que sa famille s’est installée à Grenoble, Djazia Satour découvre d’autres musiques, notamment la soul et les musiques électroniques. En 1999, elle intègre Mig, une formation trip-hop dont elle est la voix chantant en arabe, anglais et français. Le trio qui publie deux albums respectivement intitulés Dhikrayat en 2004 et Yamatna en 2006, jouit d’une bonne réputation critique à défaut de conquérir un large public.
La séparation de Mig laisse place à la carrière solo de Djazia Satour qui sort un premier EP 6 titres autoproduit Klami avec l’aide de quatre musiciens et de l’ex-Sinsemilia Fafa Daïan à la réalisation. Lauréate du Prix FAIR 2011, Djazia Satour apporte sa richesse vocale et son éclectisme à un disque traversé par les chants arabes, la nu-soul et le blues roots.