DBFC

Le premier album du DBFC n’est pas seulement une sortie, c’est aussi une naissance. Celle du psychotronica. Un genre nouveau. Une synthèse. Un creuset sonore où se fondent les transes de la musique de club, les divagations mentales de la pop psychédélique et les lames du rock.
Comme tous les nouveaux nés, le psychotronica a des parents. Deux pères, pour être plus précis : le bordelais Dombrance, remixeur de Superpoze, Is Tropical et Cascadeur, producteur de Lafayette ou Julia Jean-Baptiste, et le mancunien David Shaw, ancien musicien pour Blackstrobe, complice de Vitalic sur un titre de son nouvel album, et géniteur de So It Goes sous le nom de David Shaw and The Beat.
Pris par la fièvre d’une complicité immédiate, ils commencent par collaborer sur scène pour David Shaw and The Beat avant de croiser leurs grammaires et d’inventer un langage commun en 2014. Des guitares héroïnes se mêlent alors aux synthés à la Kraftwerk sur des beats motoriques ou disco, et DBFC est né. Trois ans, un EP et quelques grandes dates plus tard (les Trans Musicales, Rock en Seine, Les Eurockéennes ou The Great Escape à Brighton), leur premier album vient couronner la belle histoire.

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